Mardi 4 février 2014 à 20h30
Mercredi 5 février 2014 à 20h30

Mardi 4 février à 20h30
Mercredi 5 février à 20h30
Co-programmation avec les ATP d’Aix

Tarifs particuliers pour ce spectacle :
Tarif plein : 20 €
Réduit : 8 € (scolaires, étudiants de -26 ans, demandeurs d’emploi)
Minima sociaux : 4 €
Carte d’adhésion, Laissez-passer Vitez, carte culture AMU : conditions habituelles

Conception et mise en scène du Raoul Collectif : Romain David, Jérôme de Falloise, David Murgia, Benoît Piret, Jean-Baptiste Szézot
Assistanat à la mise en scène : Édith Bertholet Regard extérieur : Sarah Testa
Régie générale : Philippe Orivel Chargée de production : Catherine Hance
Collaboration artistique : Natacha Belova (Costumes), Julien Courroye (Son), Emmanuel Savini (Lumière)

Coproduction Théâtre National de Belgique, Maison de la culture de Tournai. Avec l’aide du Ministère de la Communauté française, service du Théâtre. Avec le soutien de Zoo théâtre asbl, le Groupov, Théâtre & Publics et L’Ancre – Charleroi dans le cadre de « Nouvelles Vagues ».  Ce spectacle a reçu le Prix Odéon-Télérama et le Prix du public au Festival Impatience 2012, jeune création européenne.

Voir le site du Raoul Collectif

Qu’est-ce qui pousse un homme à rompre totalement avec son milieu, voire avec la société tout entière ? A opposer à un destin trop bien tracé une révolte qui porte en elle le cri viscéral du vivant ?
LE SIGNAL DU PROMENEUR, tente de faire un peu de lumière sur ce que pourraient signifier les destins d’individus en lutte radicale, solitaire, violente, voire mortifère- avec leurs milieux respectifs, parfois avec la société toute entière. De quel désir, de quelle énergie témoignent ces fuites, ces exils, ces arrachements – parfois désespérés et tardifs -aux cadres convenus, aux valeurs en cours ?
Formé de jeunes acteurs, le Raoul collectif va rejouer le geste de certains (anti-) héros solitaires qui, un jour, se sont échappés du système dans lequel ils se sentaient emprisonnés.

« A l’annonce de l’éternité de la domination libérale sur le monde, à la fermeture définitive d’une «hypothèse révolutionnaire », à cette fatalité désespérante selon laquelle « le monde court à sa perte», nous avons l’intarissable désir d’opposer, comme un cri surgi de l’enfance, la couleur passionnelle de la nécessité de vivre, la reconnaissance du vivant et l’expansion de ses forces. Il semblerait que tout soit passé ou dépassé, que tout ait déjà été inventé… Nous nous en réjouissons : délivrés de cette ambition d’avoir à délivrer du neuf, nous voulons affirmer que dans un monde qui se détruit, la création reste le seul moyen de ne pas se détruire avec lui. Cette énergie adolescente constitue le mouvement dans lequel notre collectif a vu le jour et veut se traduire dans l’inscription d’un théâtre qui met en avant les joies de la libération. »
Le Raoul Collectif

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