Théâtre Antoine Vitez

Reprise du Festival de théâtre amateur étudiant
En collaboration avec l’association étudiante Pratik Téatr

Annulé pour cause de Covid en juin dernier, ce temps fort de théâtre amateur étudiant revient à la rentrée sur le campus Aixois au Cube.

À la croisée d’une logique de formation et d’une politique de pratique artistique amateur, cette nouvelle édition mettra à l’honneur des pièces issues du répertoire des Solitaires Intempestifs (Maison d’édition spécialisée dans les écritures contemporaines).

Lire l’édito de Louis Dieuzayde, Président du théâtre Antoine Vitez
et de Chloé Letemple, Présidente de Pratik Téatr

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Vendredi 18 septembre – 21h au Théâtre
INSOUTENABLES LONGUES ÉTREINTES

d’Ivan Viripaev – mise en scène : Maï-Ly Nguyen
Traduction : Galin Stoev et Sache Carlson
Assistante à la dramaturgie : Sarah Hassenforder
Création lumière : Aude Dallacosta
Scénographie : Margaux Cavaillon
Avec Chloé Alduc, Hugo Basset, Nelson Brun, Yassin Chebani, Mathis Grosbois, Pierre Lamble, Anaëlle Marcel, Maï-Ly Nguyen, Maureen Simeon, Arthur Ternisien

Charlie, Monica, Amy et Christophe ; quatre trentenaires que tout semble opposer. Leur parcours se croise dans  « cette ville en plastique de merde  » qu’on appelle New York. Quatre personnages. Onze comédiens.
Leurs histoires et leur voix s’entremêlent sous l’effet de la voix de l’Univers qui leur ouvre un monde « autre » ; où les frontières tombent et laissent place à l’expérience des sens. De leur fusion vient la vie, la mort, l’amour, le sexe.
La pièce est une étreinte oppressante et insoutenable, emplie de confiance, de création et de vie.

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Samedi 19 septembre – 19h – Salle Le Plateau
LES RÈGLES DU SAVOIR-VIVRE DANS LA SOCIÉTÉ MODERNE

de Jean-Luc Lagarce – mise en scène : Catherine Chazel
Régie : Manon Poletto et Léni Chavent
Scénographie : Luciana da Silva Maciel et Soraya Fonseca
Avec : Léni Chavent, Loris Genty, Soraya Fonseca, Meri Hamazaspyan, Samaneh Latifi et Si-Wei Li

De la naissance à la mort, comment s’accommoder de l’existence ?
En partant d’un texte écrit par Jean-Luc Lagarce, où il est question de règles et de principes à suivre, il apparaîtrait qu’il n’est pas nécessairement impossible de vivre.
Du berceau au cercueil, il existerait ainsi, une solution, un moyen de réagir et de se comporter. Un lieu où le bon assortiment des objets et des personnes ferait que l’on serait comme il faut, que l’on ne risquerait rien et que l’on n’aurait jamais peur. Alors que cela commence…

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Samedi 19 septembre – 21h au Théâtre
MACBETH

de William Shakespeare – mise en scène : Mattéo Duluc
Traduction : Stéphane Braunschweig et Daniel Loayza
Régie : Matthias Pichet
Scénographie : Caitlin Dailey
Avec Quentin Baine, Marthe Bonne, Lorena Boureille, Luna Bouré, Prescillia Demirdjian, Ambre Donzelli, Zeki Durna, Frédéric Gambari, Jean-Erwan Gérard, Victor Lagier, Ingrid Lefebvre, Emmanuelle Poinas, Maëla Sabouraud, Kellian Tosoni, Alexandre Verne

De Macbeth, nous déplions les ressorts d’une mécanique sauvage, nous faisons entendre le bruit de la violence comme une présence hors de notre monde, étrangère et pourtant familière. Ce bruit émergera d’un orgue installé sur scène tel un monstre de colère. Son écho résonnera dans les corps, orchestrant ainsi, une étrange musique de la parole. Ici, la violence, n’est pas un signe, elle est un mouvement inéluctable. C’est une chute les yeux bandés au bout de la nuit Shakespearienne.

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